Festival de Gibara. Plus que du cinéma pauvre

Gibara, le 22 Avril (ACN). La ville côtière de Gibara, siège permanent du Festival International qui accueille ces jours-ci sa douzième édition du cinéma pauvre, est une source d'événements théoriques et autre expression artistique.

Le septième art est seulement un prétexte pour que dans la ville blanche on fasse des ateliers, des panneaux et des forums, avec la présence de plusieurs cinéastes et intellectuels dont l'intention est de discuter de la programmation de films sur l'environnement, la distribution et la projection de films.
"Gibara: 200 ans d'histoire et de la culture» est le thème de l'un des ateliers de l'événement, ce qui donnera un aperçu de l'évolution historique et culturelle de la ville, en mettant l'accent sur les événements les plus importants de la colonie, la République et la Révolution.
Parmi les ateliers de fournir, il y a celui du Lieu, destiné aux jeunes réalisateurs, écrivains, producteurs, photographes, ingénieurs du son, éditeurs, acteurs, créateurs de costumes et bien plus encore.
L'atelier consiste à réaliser un court métrage de fiction en trois jours seulement, une expérience qui favorise le travail de groupe dans la création du film et de développer des compétences créatives.
A ce festival participeront plus de 350 œuvres de quelque 20 pays, dont l'Argentine, l'Espagne, les États-Unis, la Suisse, l'Allemagne, le Brésil, la France, le Pérou, le Salvador et le Chili.
Une douzaine de films de fiction et autant de documentaires font partie de la proposition officielle, à laquelle sont joints des échantillons parallèles de différentes catégories.