La Havane, 15 Juillet (acn) Des Organisations de l'émigration de Cuba à Miami qui intègrent l'Alliance des adeptes des idées de Martí ont exigé le retour de Gerardo Hernández, Ramón Labañino, Antonio Guerrero et Fernando González, les lutteurs contre le terrorisme qui restent condamnés à tort aux États-Unis.
Lors de la réunion, organisée par la Brigade Antonio Maceo, l'Alliance des adeptes des idées de Martí, -individuellement,- l'Association José Martí, l'ATC, le Cercle Bolivarien de Miami et l'Association des Femmes
Chrétiennes en Défense de la Famille, il a été offert une mise à jour du
cas, en particulier du processus d'appel de ces quatre combattants et du mouvement politique en faveur d'un retour dans leur patrie, souligne aujourd'hui Prensa Latina.
René González, le cinquième du groupe, a été libéré de prison en Octobre 2011, puis il a été transféré à la liberté surveillée, et puis un juge a modifié ces conditions et lui a permis de rester à Cuba après avoir renoncé à sa citoyenneté étasunienne.
Ramón, Fernando, Antonio et Gerardo attendent que le juge Joan Lenard, celle qu'initialement les a condamné en 2001, se prononce sur leurs recours extraordinaires ou habeas corpus, la dernière ressource juridique à leur disposition.
L'élément commun de ces quatre ressources est la conspiration du
Gouvernement avec les médias et des journalistes dans la ville étasunienne de Miami auxquels il a payé et conduit pour déclencher une campagne de haine contre les accusés.
Les Cinq, comme ils sont connus internationalement, ont été arrêtés à
Miami tout en regardant les plans des groupes violents opérant en toute impunité dès là-bas contre Cuba depuis plus de 50 ans.
Un panel des Nations Unies a conclu en mai 2005, que la détention de ces hommes est illégale et arbitraire et il a fait un appel à corriger
immédiatement cette situation à Washington, quelque chose encore ignoré par les gouvernements successifs de la Maison Blanche.