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août mardi

Experts cubains soulignent les effets de la crise économique mondiale

La Havane, 11 novembre (ACN) Bien que les Fonds Monétaires Internationaux prédisent pour cette année une augmentation de l'économie dans l'orbe de 3,3 pour cent, semblable à celle des 2013, cela n'implique pas la fin de la crise économique qui a commencé en 2008.

Ramón Pichs Madruga, directeur du Centre de Recherche de l'Économie Mondiale a exposé les effets régionaux de la crise actuelle, sujet qui coïncide avec l'un des objectifs d'étude principaux de cette institution arrivant à 35 années le 19 novembre.

L'expert a souligné que les pays vivent une décélération et dans le cas des nations hautement industrialisées, d'après statistique du FMI, se prévoit seulement une augmentation de 1,4 à 1,8 pour cent, chiffre très limité en comparaison au 3,1 de l'année 2010.

Il a remarqué la présence croissante des nations du BRICS dans l'économie mondiale, fondamentalement le Brésil, la Russie, l'Inde et la Chine qui créent de nouveaux mécanismes et discutent maintenant avec les institutions établies au niveau monétaire et financier.

José Ángel Pérez, chercheur du centre, a délimité que l'économie de l'Amérique latine et la Caraïbe est évidemment associée à l'économie mondiale, ce qui est reflété dans la décélération annoncée pour 2014.
Il a argumenté que cette région n'a pas été capable de profiter de ses richesses, comme les ressources naturelles abondantes pour le développement de l'innovation et la recherche et améliorer ainsi la qualité de la production et l'exportation D'autres experts du centre ont coïncidé que la crise est caractérisée comme un phénomène multidimensionnel, où coexiste la crise énergétique, alimentaire et environnementale avec une forte base dans la spéculation.

Ils ont évalué que cette tendance est reflétée dans l'augmentation démesurée du capital spéculatif, en ayant lieu un divorce entre la vraie économie et la financière.